Il y a des soirs comme ça où je regrette de ne plus tenir de journal, de ne plus pouvoir profiter de cette sensation de catharsis… Les mots que l’on écrit sans réfléchir, sans y penser, juste se laisser aller.
Cette sensation de « vomir » tout ce qui nous est resté sur le coeur toute la journée. L’encre sur le papier, les pages qui se tournent s’il le faut tâchées de larmes, un cri de rage silencieux, une fatigue, la fatigue du genre humain…
Il y’a des soirs comme ça où tu sais que tu n’es pas où tu dois être… Et puis il y a demain, il y a toujours demain…heureusement.
Un jour après l’autre…